F.A.Q
Quelques éléments de réponses aux questions les plus fréquentes que nos patients se posent
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NOS INTERVENTIONS
F.A.Q
QUESTIONS/RÉPONSES
À l’ICR
nous traitons principalement les deux cas suivants
Les cas d’invalidité ou d’infirmité liés à des traumatismes graves ou à des maladies invalidantes.
Le but ici est de permettre au patient de retrouver son autonomie fonctionnelle afin de facilité sa réinsertion sociale ou socioprofessionnelle.
Les cas de disgrâce physique.
Le but est d’améliorer l’aspect esthétique du corps afin de permettre une vie sociale et relationnelle plus aisée.
On raconte que les prothèses doivent être changées tous les dix ans, est-ce vrai?
La durée de vie estimée d’une prothèse est de quinze à vingt ans ; il n’y a aucune raison de remplacer un implant avant qu’il ne rupture. Dans le cas de rupture d’une prothèse saline, le sein va s’affaisser en quelques jours, car l’eau qui s’écoule par la perforation est réabsorbée par l’organisme et éliminée. Dans le cas d’une prothèse en gel de silicone, le bris ne se manifeste pas par une perte de volume : c’est souvent lors d’une mammographie ou d’une échographie que le diagnostic est posé.
Les prothèses sont elles garanties?
Les compagnies offrent des garanties sur les implants salins. Les patientes devront cependant assumer les frais de la chirurgie. Il ne faut pas oublier que ces frais supplémentaires n’arriveront pas avant quinze à vingt ans pour la moyenne des patientes.
Est-ce que les cicatrices sont visibles ?
Dès que les cicatrices sont blanches c’est à dire 6 à 12 mois après l’intervention, elles deviennent extrêmement discrètes (sauf cicatrisation pathologique)
Une grossesse est-elle envisageable après la pose d’implants mammaires ?
Oui, tout à fait. Les seins évolueront de la même manière que chez une femme sans implant.
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